STARRING CLAIRE HOLT BY TUMBLR.

April Payton Beadle

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ÂGE : Vingt-cinq ans. ★ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 26/02/87 à Londres, Angleterre. ★ ORIGINES : Anglaises et suédoises. ★ NATIONALITÉ : Anglaise. ★ STATUT CIVIL : Célibataire, et il y a de fortes chances pour que son coeur soit de nouveau pris. ★ EMPLOIS : Mademoiselle est infirmière, et elle adore son métier. ★ TRAITS DE CARACTÈRE : Têtue, drôle, maternelle, maligne, mystérieuse, susceptible, rancunière, impulsive. ★ GROUPE : Envy.

elle est enfant unique, et elle a en toujours plus ou moins souffert ~ elle aurait aimé avoir un grand frère ou une petite soeur ~ elle est avide de sensations fortes et elle a déjà fait du saut à l'élastique ~ elle a vécu un an au Mexique, ce qui lui a permis de s'améliorer en espagnol ~ elle ne peut pas se séparer de son i-phone, c'en est devenu une véritable drogue ~ elle aime manger, et elle a appris à se maîtriser puisque fut un temps, elle était boulimique ~ étant petite, elle n'a jamais eu peur des prises de sang ou des piqûres, ce qui était certainement un signe annonciateur de son métier actuel ~ elle tient un journal intime depuis ses quatorze ans ~ elle a joué du hockey sur gazon à l'école ~ elle a déjà été brune pendant son séjour au Mexique ~ elle chante sous la douche ~ elle téléphone souvent à sa mère pour lui demander conseil ~ son rapprochement avec Cheyenne l'effraie un peu, puisqu'elle n'avait encore jamais été attirée par une fille, mais bizarrement, cette relation lui plait beaucoup ~ elle est du genre à materner tout le monde, à vouloir prendre de leurs nouvelles tout le temps ~ elle ne fume que rarement mais il lui arrive souvent de boire des bières entre amis ~ elle a un humour tout à fait particulier et elle adore le faire profiter aux autres ~ elle n'est pas du genre à se confier à tout le monde, et elle préfère garder son jardin secret ~ elle panique facilement en cas de problème ~ elle a un chien, Miko, qu'elle adore ~ parfois un peu décalée, elle en joue auprès des autres ~ elle aime l'odeur de la pluie et le bruit des gouttes contre les fenêtres ~ sensible, elle en a souvent souffert dans sa vie ~ elle n'est pas vraiment attachée à l'argent, mais elle a un besoin permanent de toujours faire plus, de toujours se surpasser et avoir plus, à sa façon.

~ forget my name.
PSEUDO/PRÉNOM : bluerock. alias Lily. ★ ÂGE : Dix-sept ans. ★ OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : Grâce à un MP de ma Lucie. ★ AVIS/COMMENTAIRES : IL EST PARFAIT ! Encore plus pour mes vacances. ★ AUTRES : Je suis officiellement en vacances, alors vous tombez à pic, et je t'aime ma Léo.

~ bring me back down.
Papa, tu sais, aujourd'hui il fait beau. Comme tu l'avais deviné, comme à chaque fois que tu jardinais et que tu nous disait pouvoir parler avec tes plantes. Elles seules savaient prédire la météo, et elles ne mentaient jamais pour toi. Et maintenant je regarde ces fleurs devant la maison, et elles me rappellent que tu n'es plus là. Le vent retourne les feuilles mortes du perron autant que ton départ me retourne intérieurement. Tu vois, même Maman n'est plus la même, je ne suis pas bête, je peux le voir. Elle semble porter une douce tristesse au visage, comme si elle se consolait en se disant que tu devais aller bien, là-bas, quelque part. Je la vois toujours sourire, mais cette lassitude de la vie, ce souvenir de toi la hante, et tu as l'air d'être partout dans la maison. À table, dans le couloir lorsque je rentre de l'école, j'ai toujours l'impression que tu m'attends pour me prendre dans tes bras. Je joue les fortes pour Maman, parce qu'elle a besoin de moi pour ne pas s'effondrer, parce que je suis le mur qui l'empêche de sombrer. Tu te souviens Papa, lorsque tu me disais que les super-héros devaient exister quelque part ? Moi je dis que tu es encore plus fort qu'eux, puisque même en étant absent, tu parviens à nous sauver Maman et moi. Tu nous as même rapprochées. Elle est tout ce qu'il me reste, je suis tout ce qu'il lui reste. Et je l'entends parfois pleurer toute seule, quand elle croit que je ne la vois pas. Alors j'espère que tu ne m'en veux pas de la laisser s'attacher à un autre. J'espère que tu ne m'en veux pas d'être heureuse de la savoir dans le même cas. J'espère que son bonheur comptera plus que ce sentiment de trahison qui m'habite Papa. Parce que Maman aussi elle a besoin de sourire. Parce que même si elle se remarie avec cet Américain là, je sais qu'elle t'emporte avec elle partout. Tu la suis, elle te suit, c'est en ainsi. Tu lui as apporté plus que quiconque, j'en suis certaine. Alors elle pense à toi, elle avance, se retourne, et te sourit, comme pour te rassurer, et te dire que tout ira bien. Elle t'assure que bien qu'elle tienne la main d'un autre, que c'est à toi qu'elle pense. Elle tente juste d'avancer, comme ils le disent tous. Et moi non plus je ne t'oublierai pas, jamais. Je t'en fais la promesse, de toi à moi, de nous à toi. Tu es parti bien trop tôt à cause de cette maladie qui te détruisait à petit feu. Mais tu restes quelque part avec nous, et je t'aime Papa, ne l'oublie jamais.

Cheyenne, c'est moi, je suis rentrée ! Encore emprisonnée par la tonne de sacs qu'elle portait, April manqua de se rétamer à l'entrée de chez elle. Encore vêtue de sa tenue de travail, c'est à dire en tenue d'infirmière, elle portait un long manteau brun, histoire de paraître un peu plus normale dans la rue. Cependant, il y avait une chose qu'elle ne perdrait plus jamais : son sourire. Jetant ses clés sur la table qui se trouvait tout près de la porte d'entrée, elle retira ses chaussures, ainsi que son manteau, avant de se mettre à faire un tour du propriétaire. Ses pieds la guidèrent tout d'abord à la cuisine, où elle se prit une pomme, qu'elle commença à manger en y croquant une bonne partie. Ses cheveux blonds ondulés ne cessaient de s'agiter, puisqu'elle cherchait sa colocataire activement. Arrivant à présent dans le salon, elle trouva un mot de cette dernière, qui lui disait de ne pas l'attendre, et qu'elle rentrerait tard ce soir, puisqu'elle venait de se trouver un travail de serveuse qu'elle aimait beaucoup. Cette pensée fit sourire notre blondie, qui se souvint de Cheyenne lorsqu'elle l'avait rencontrée pour la première fois. Elle n'allait vraiment pas bien, et surtout, elle était détruite. Détruite par la perte d'un être cher, par tout un monde qu'il fallait reconstruire, et April l'a aidée à poser la première pierre. Oh oui, sa brunette préférée avait parcouru un long chemin depuis, et Blondie était extrêmement fière d'avoir pu faire partie de cette convalescence. D'ailleurs, elle avait toutes les deux avancé depuis tout ce temps. Blondie avait pu faire le deuil de son père, et ainsi s'habituer à son beau-père, qui les avait fait déménagé, sa mère et elle, en Amérique. Oui, elles avaient quitté leur Angleterre natale pour le suivre, cet homme beau, riche, intelligent et j'en passe. Il avait accepté sa mère comme elle était, veuve, mère d'une petite, alors il fallait bien lui donner une chance. Et cette chance, April l'avait également eue. N'ayant manqué de rien durant son adolescence, elle a cependant préféré s'éloigner de ce monde de paillettes pour devenir ce qu'elle avait toujours voulu devenir : infirmière. Oh que oui, à présent, elle faisait enfin ce qu'elle voulait, elle se sentait libre, et enfin elle-même à vrai dire. Oui, la vie semblait pour une fois jouer dans son équipe, mais pour encore combien de temps ?