BORN TO DIE (aubrey)

STARRING KAREN GILLAN BY TUMBLR.

aubrey, hamilton

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ÂGE : Vingt-trois ans. ★ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 14 Février, New York. ★ ORIGINES : Américaine. ★ NATIONALITÉ : Américaine. ★ STATUT CIVIL : Célibataire. ★ EMPLOIS : Etudiante en psychologie. ★ TRAITS DE CARACTÈRE : Douce; trompeuse; calme; amusante; franche; créative; sportive; discrète. ★ GROUPE : Gluttony.

Depuis toute petite, elle adore le sport ainsi que les activités manuelles. Elle énormément l'art, ce qui est la sculpture. Elle a vite abandonné quand elle s'est aperçue que toutes les petites sculptures qu'elle faisait en cours particulier et qu'elle offrait à son père finissaient par se retrouver dans le garage au lieu de son bureau. En ce qui concerne le sport, elle adore courir et s'offre une heure chaque semaine mais elle possède de cheveux qui sont dans un centre équestre en-dehors de la ville où elle leur rend visite lors de ses excursions à la campagne. - Elle aime aussi la photographie, malheureusement elle n'excelle pas dans ce domaine et ce contente d'admirer les merveilles des autres. - Elle ra-folle de la framboise, que ce soit le fruit, les gâteaux, tout. - Mais elle prend énormément soin de son hygiène de vie, et ça passe par sa toilette, sa nourriture, son poids. - Elle a toujours eu un style décalé, incompris de ses amis et du reste du monde. - Elle adore les parfums, elle se parfume chaque jours voir même plusieurs fois par jour. - Elle a beaucoup de mal à sortir de son cercle d'amis, mais elle ne repoussera jamais personne qui voudrait converser avec elle. - Elle a toujours vécu dans le luxe mais elle ne s'en est jamais vanter.

~ forget my name.
PSEUDO/PRÉNOM : Partaken/Maëlle. ★ ÂGE : écrire ici. ★ OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : Bazzart. ★ AVIS/COMMENTAIRES : I LIKE ! ★ AUTRES :

Citation :: Quand rien ne va plus, tu
ne peux qu'aller mieux

Passer quinze ans de ta vie, dans un foyer, entourer de personnes que tu penser loyaux en vers toi, tu te pensais en sécurité avec eux mais t'avais faux, c'était eux dont tu devais te méfier. T'essayes de leurs donner raison, mais au fond c'est eux, c'est eux les égoïstes qui n'ont pensr qu'à eux en te cachant une telle chose. Pensant faire bien, ils t'ont cachés de la vérité. Réveilles-toi ma vieille, tout n'est pas beau, tout n'est pas rose. Aubrey s'avançait dans le salon où l'attendait ses parents, voulant lui annoncer quelque chose d'importantes. D'un naturel sensible et peureux, elle se posait dix milles questions. Ce n'était pas dans leurs habitudes, à ses parents, de troubler les habitudes avec des choses importantes. Pourquoi n'avaient-ils pas pu lui dire lorsqu'ils l'avaient eu au téléphone alors qu'elle était en vacances à Londres avec quelques amies. Comment la mettre dans l'angoisse ? À peine était-elle revenue de sa petite escapade londonienne qu'elle avait dû rentrer chez elle pour savoir cette fameuse chose importante qui l'hantait depuis maintenant plusieurs rouges. Elle s'avança vers ses parents, timide, pourtant elle ne devait pas, ce n'est pas comme si elle avait fait une bêtise, si ? C'est pour ça que ses parents avaient quelques choses d'importants à lui dire et ils allaient l'envoyer dans une pension. Elle paniquait, mais intérieurement, à l'extérieure elle regardait ses parents avec ses grands yeux et s'installa sur un des sièges qui l'attendaient face à ses parents. « Vous vouliez me parler de quelque chose ? » Elle avait zappé le mot important pour rendre l'atmosphère moins étrange, malgré que dans sa tête il n'y avait que ça qui résonnait. Sa mère était nerveuse, ça pouvait se lire sous son sourire faux qu'elle empreinte généralement quand on fait des sous-entendues des tromperies de son mari ou encore celui qu'on prend pour les soirées mondaines. Son père voyant la détresse de sa mère, prit la parole. « Oui ma chérie. » Franc, son père ne s'attarda pas sur les détails et entra dans le vif du sujet. « Depuis quelques jours nous recevons des messages, des mails ou encore des lettres ... de menaces. » Aucunes réactions de la part de Aubrey. Elle devrait pourtant, c'était des menaces. On aurait dit qu'elle savait de quoi il parlait, pourtant elle était sur le point de se tromper, mais pour l'instant elle fixait la table basse face à elle, pensive elle répondit. « Des menaces ? À propos de ? » « Bien, je ne vais pas tourner autour du pot et nous ne voulons pas que tu l'apprennes par quelqu'un d'autre. Tu as été adopter. » Soulagement. Du moins, elle se sentait bizarre d'un coup. Elle ne savait plus quoi penser. Elle regardait ses parents avec un sourire en coin. « Je me fiche d'où je peux venir et de qui, pour moi vous êtes mes parents. » Elle vit apparaître sur le visage de sa mère son vraie sourire, elle se leva et prit sa fille dans ses bras. Elle lui glissa quelques mots pour lui dire comme quoi ça lui faisait plaisir qu'elle réagisse comme ça. Quand on y repense, la couleur de cheveux avait été souvent une question étrange au sein de la famille.