STARRING RJ KING BY TUMBLR.

Anatole Leroy

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ÂGE : 24 ans ★ DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Paris, le 17 avril 1988 ★ ORIGINES : Française et américaine (du coté de sa mère) ★ NATIONALITÉ : française ★ STATUT CIVIL : célibataire, en gros. ★ EMPLOIS : Créatif dans l'agence de pub de papa, en attendant de grimper les échelonsà la vitesse grand V, évidemment. ★ TRAITS DE CARACTÈRE : Blagueur - Séducteur - Imbus - Capricieux - C'est une Diva version masculine - Méticuleux - Acerbe - Irascible - Colérique - Possessif - Froid - Sarcastique - Grivois - Bâtard sans coeur ★ GROUPE : Pride

→ Ses parents ont divorcé quand il n’avait que six ans, le pauvre gosse entrait en primaire et comme si ça ne suffisait pas, fallait que ses parents se déchirent. Traumatisme évidemment, imaginez l’année de folie, de terreur, de… Ouais soit. → Chose très importante à savoir sur Anatole, le gars a une chevelure carrément sacrée. Personne n’y touche, pas même Georgio le coiffeur de son père, non, on a dit personne et dieu sait comme ses cheveux sont parfaits. Le talent mesdames, le talent… → Il n’en a pas conscience, mais il a un sale tic. Il se passe le doigt sur les lèvres quand il est nerveux/intimidé/gêné. Autant vous dire que ça n’arrive pas si souvent que ça, hein. → Il est riche, il assume totalement, il ne porte que des fringues griffés. Le prix de ses pompes pourrait servir a nourrir une tribut africaine pendant une semaine, voire plus. Et on ne vous parle même pas du reste de sa garde robe hein, c’est pas parce que c’est un mec qu’il prend pas soin de lui, oh non loin de là. → Au cas où vous ne l’auriez pas encore compris : il s’aime. Pire, il s’adule, si il pouvait créer une religion en sa faveur, il le ferait probablement, oui Anatole est parfait et il le sait. Son égo n’a pas de limite et il préfère passer pour un petit connard sans sentiments plutôt que d’avouer ce qu’il ressent. C’est mieux pour tout le monde et surtout pour lui. → Il est évident qu’il est totalement insupportable et pourtant, et ouais, y’a deux trois personnes qui l’apprécient (et on parle pas de sa mère là). Les gens admirent les connards surtout quand ils s’assument. Et lui il s’assume à du deux cent pourcent. → Si il est aux USA, c’est un peu parce que papa lui a demandé d’aller bosser dans son agence, là-bas… Quoi que, il voulait envoyer un autre type à la base mais vous savez, il fallait un gars de ‘confiance’ hein, ouais aller on y croit tous, rien à voir avec le fait que Mélisandre s’y trouve aussi, hein. → La seule chose qui le fait vibrer, mais vraiment, c’est la musique. Et ouais, il en joue en plus mais personne le sait, pour une fois qu’il se la pète pas. En même temps tout le monde sait jouer de la guitare, à force c’est plus très original. → N’espérez jamais être la fille qui le fera changer. Elle n’est pas encore née et même si Mélisandre pourrait être celle qui s’en approche le plus, elle n’y arrivera pas. C’est un petit con et il le restera, point.


~ forget my name.
PSEUDO/PRÉNOM : lise (de toute manière clarisse m'a grillée, voilà. ) ★ ÂGE : 18 ans pour plus très longtemps. ★ OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM : sur bazzart comme, je pense, 99% des membres, nop ? . ★ AVIS/COMMENTAIRES : ★ AUTRES : .

~ bring me back down.
Que ce soit bien clair, aucun faux pas n’est permis. Jamais, tout doit être aussi parfait que je le suis mais pour commencer : ma tenue. Je me regarde dans le grand miroir de ma chambre à Paris, la tenue est impeccable, pas un faux pli, rien. Je m’approche un peu, mes doigts volent dans mes cheveux, j’ai un doigté d’expert, encore quelques secondes et ils seront parfaits, eux aussi. A et, la dernière touche, mes nouvelles chaussures hors de prix, je les enfile rapidement avant de jeter un dernier coup d’œil à ma personne. Franchement je ne vois pas comment est-ce qu’on pourrait ne pas se retourner sur moi, je pue la perfection à plein nez. Et le fric surtout, n’oublions pas le fric. Ce soir je me rends a un gala de charité, si j’y vais c’est pas pour la charité, j’en ai un peu rien à foutre moi de tout ça. J’y vais parce que c’est une fête, de riches, pour les riches et que se sociabiliser un minimum ne me fera pas de mal, enfin je dis ça mais hier soir j’avais aussi une soirée et demain ça recommence. Eugénie m’appelle depuis le bas des escaliers, elle s’époumone et moi je prends mon temps sans prendre la peine de lui répondre. Elle se sera cassé la voix avant que je descende et franchement, pour la faire chier, je serais capable de prendre encore plus mon temps. Oh qu’elle m’enerve. « Eugénie ! » Je crie à mon tour, voilà qui devrait la suffir à la faire taire… Et non. « Tu mets plus de temps que moi à t’habiller, ça mon cher Anatole, c’est pas normal ! » Pardon ? En quoi est-ce que prendre soin de ma personne n’est pas normal ? Je hausse un sourcil devant le miroir avant de finalement quitter mon reflet pour de bon, je descend les escaliers et la regarde de haut en bas. « C’est tout à fait normal. » Je fais, un petit sourire moqueur sur le visage. Sa robe est hideuse, j’hésite à la laissée ici mais c’est ma cousine et mon père ne sera pas heureux de savoir que je l’ai planté là. Encore. Je jette un œil à ma montre, on est déjà en retard, mais tant pis je refuse de me pointer avec elle habillée comme un sac, je lui attrape le bras. « Ok mon cœur ça va pas le faire, viens avec moi. » Je l’emmène à l’étage, la gosse a deux ans que moins de moi et déteste la mode, je ne sais même pas ce qu’elle fou dans cette famille tellement elle est différente et anormale. J’ouvre la porte de sa chambre, je la lâche et je lui désigne le lit pour qu’elle s’asseye, merde je me retrouve à habiller ma cousine c’est une blague ? J’ouvre la penderie, moche… Moche… Moche… Ah, une robe Valentino dorée avec décolté respectable. N’oublions pas ou nous allons, ma cousine ne doit pas ressembler a une catin. Je lui passe la robe, avise les chaussures qu’elle porte déjà et hoche la tête, ouais elle peut les garder. Et j’attends, là. Non je ne compte pas la laisser seule, elle risque de ne pas s’habiller comme je le désire alors tant pis si elle doit retirer sa robe devant moi, ma cousine ne fait d’effet à absolument personne de toute façon. Elle est trop grande, trop mince, trop plate. C’est pas une femme, c’est une chose. Qui porte la plus belle robe de sa penderie ceci dit. Ah quand même ! Je sors de la chambre sans attendre qu’elle me suit et je descends les escaliers pour me rendre dans le hall où je prends ma veste pour sortir dans le froid glacial de l’hiver parisien. Eugénie me suis en trottinant sur ses escarpins Chanel et en enfilant sa veste Dior, noire et élégante. Le chauffeur nous ouvre la porte et nous nous engouffrons dans la voiture, c’est partit pour une autre soirée d’apparences futiles et de pseudo-compassion pour les enfants du tiers-monde. Si ces gens en avaient vraiment quelque chose à foutre, ils ne boiraient pas du Laurent Perrier dans des coupes en cristal en écoutant le dernier groupe à la mode venu chanter spécialement pour eux des chansons qu’ils ne connaissent pas et dont ils se foutent éperdument parce que de toute façon, quelque part, y’aura toujours quelqu’un pour les envier et les porter sur un autel de gloire, de beauté et de bonheur absolu. Si ils savaient.

Mais ils ne savent pas, parce qu’on leur montre ce qu’ils veulent voir. Nous sommes comme un fabuleux spectacle de ce que leurs vies auraient pu être s’ils avaient fait de plus longues études, s’ils avaient plus de talent, plus de chance. Les misérables se contentent de nous servir des coupes de champagne sans qu’un seul mot ne sorte de leurs bouches. J’entre à peine dans la grande salle de réception que j’abandonne Eugénie à son triste sort de cas social et me dirige vers le centre de la pièce à la recherche de quelqu’un qui ne me fera pas honte. Mais à la place, c’est Mélisandre que je croise. Je prends un plaisir certain à emmerder la jeune femme venue d’ailleurs. Ca se voit a sa dégaine de fille paumée qu’elle n’a rien à voir avec mon univers, notre univers puisque je suis dans mon élément ici. Je prends un coupe de champagne et décide de ne pas aller vers elle tout de suite, ce serait bien plus amusant de la croiser plus tard, quand la fatigue l’aura grisée et que les bulles lui seront montées à la tête. En attendant je constate encore une fois à quel point le monde est hypocrite alors que je vois plusieurs femmes parler de la pauvreté dans le monde avec des regards de cocker. L’une d’elle porte une collier de perles, l’autre a un diamant tellement gros a son doigt que je me demande si elle ne se fait pas des muscles rien qu’en levant la main. Et ça se prétend altruiste. Soupire. La soirée passe, je m’emmerde à en crever et je retrouve rapidement Eugénie près du buffet. Cette fille est un cas désespérer, elle est mince certes mais ce n’est pas pour ça qu’elle doit s’empiffrer. Je lui jette un regard noir et je la vois tout de suite poser l’assiette qu’elle tenait en main. Oui, c’est ça, arrête de bouffer comme une baleine bleue. Quand je me retourne je me retrouve nez-à-nez avec Mélisandre. Bah tiens. La fin de la soirée n’est pas difficile à devenir, une joute verbale va encore nous opposer et elle va partir, furibonde. Sauf que, pour une fois, ça ne se termine pas comme ça. Je ne la connais pas depuis longtemps, je dirais quelques mois, trois ou quatre, je l’ai rencontrée à Londres en fait car elle avait réussis par je ne sais quel moyen a s’incruster dans un défilé vêtue de la plus horrible des façons. C’est comme ça que je l’ai remarquée, le vilain petit canard au pays de Burberry. Elle était entrée grace a une de ses amies, fille que je connaissais aussi mais sans plus, dont l’existence ne m’importait que peu, comme un gros 99 pourcent de la population mondiale. Les gens qui me sont indispensables sont : mon père pour son blé, ma mère pour la même raison et les gens qui me servent. Bref, à la fin de la soirée, je ne sais pas si c’est parce qu’elle avait trop bu, mais j’ai réussis à lui voler un baiser. Un seul, intense, interminable, à couper le souffle même jusqu'à ce qu’Eugénie se pointe dans le hall ou nous étions, pour me demander de partir. Ma cousine ne sert à rien, je nourris envers elle une profonde haine depuis ce jour. Le pire ? Mon père me l'a encore collée au cul pour aller aux USA.

Citation :

elle doit retirer sa robe devant moi, ma cousine ne fait d’effet à absolument personne de toute façon. Elle est trop grande, trop mince, trop plate. C’est pas une femme, c’est une chose. Qui porte la plus belle robe de sa penderie ceci dit.

Citation :

Je hausse un sourcil devant le miroir avant de finalement quitter mon reflet pour de bon, je descend les escaliers et la regarde de haut en bas. « C’est tout à fait normal. » Je fais, un petit sourire moqueur sur le visage. Sa robe est hideuse, j’hésite à la laissée ici mais c’est ma cousine et mon père ne sera pas heureux de savoir que je l’ai planté là. Encore.